FRANCOIS NYAM – DES PARQUETS AUX PLATEAUX TELE : L’EPOPEE D’UN ESPRIT LIBRE.
La démarche de travail de Francois Nyam est comme sa personnalité : audacieuse, cassant les codes et les barrières pour suivre sa vision et concrétiser ses rêves.
Au cœur de cette trajectoire trépidante, son nouveau podcast « DISRUPTERS » (https://youtube.com/@Disrupters-oe2wf?si=9MmYpMTieo_61Z-4) s’impose comme une plongée dans l’univers de personnalités inspirantes et avant-gardistes.
Les récits authentiques sont trop souvent laissés de côté et le format novateur du podcast ouvre les portes de la confiance et instaure une conversation franche plutôt qu’une simple interview. Francois Nyam, en artisan de la vérité, démontre que les voix et esprits libres peuvent changer le cours des existences. Son podcast se veut informatif mais surtout éducatif : éveiller les consciences, ouvrir la voie aux générations futures et inspirer les âmes à persévérer, toujours plus haut, toujours plus loin.
Toujours en quête de nouveaux objectifs, Francois Nyam continue son activité de consultant pour CANAL+ Group, accompagne de prometteurs « prospects » aspirant à jouer en NBA et promet de faire découvrir (ou redécouvrir) de vrais pionniers disruptifs dans les prochains épisodes de son podcast.
Dans le cadre de notre entretien, Francois Nyam met en évidence l’importance de structurer ses projets, explique son choix de protéger sa marque et de consolider ses contrats, la nécessité de s’entourer des meilleurs professionnels et prodigue des conseils précieux pour les futurs entrepreneurs qui cherchent à établir leur empreinte dans le monde compétitif des affaires. Comme dans son sport de prédilection, il nous partage son analyse pointue, les stratégies de protection et de défense à adopter et sa vision « out of the box ».
- Qu’est-ce qui t’as incité à protéger ta marque ?
Il y a quelques années, j’avais créé des tee-shirts avec un slogan qui a cartonné : j’ai lancé plusieurs produits qui ont très bien fonctionné, les ventes étaient au rendez-vous. Et puis j’ai commencé à voir un peu partout dans Paris des tee-shirts reprenant le nom de ma marque et mon slogan avec plein de déclinaisons mais ce n’étaient pas mes produits ! La rançon de la gloire : j’étais victime de contrefaçon. Je n’avais pas pensé à déposer ma marque avant de lancer la production et de faire connaître mes produits et avec le recul je sais que c’est une erreur.
Cette expérience m’a démontré qu’il faut absolument se structurer en amont, quelle que soit votre activité. Une marque comme une entreprise d’ailleurs doivent être conçues comme on construit une maison, sur des bases solides. Il faut d’abord bien consolider les fondations quitte à penser aux finitions après.
Pour mon projet DISRUPTERS, je savais qu’il fallait que je protège le nom au préalable, avant même d’en parler autour de moi
- Pourquoi as-tu décidé de faire appel à un Cabinet spécialisé en propriété intellectuelle ?
Dans le cadre du lancement de mon projet DISRUPTERS, j’ai pensé à blinder les contrats et à déposer ma marque pour les projets actuels et futurs. Très vite, des questions de droit d’auteur, de droit à l’image, de droits de diffusion se sont posées et j’ai donc encadré ma façon de travailler car tout seul on ne peut pas tout maîtriser. Chacun son domaine et ses compétences.
Il est essentiel de faire appel à de vrais et bons professionnels, de s’entourer et de se protéger au plus tôt. C’est très rassurant pour avancer et continuer sereinement ses projets.
- Quels conseils donnerais-tu à un futur entrepreneur ?
Il ne faut pas négliger de structurer rapidement son projet. Quand on commence, on se dit « je suis petit, il ne va rien m’arriver » mais on est jamais prêt à l’explosion de son projet ou de sa marque, ça peut prendre une vie comme une nuit ! Par mesure de sécurité, il faut se protéger très rapidement. Il ne faut pas se dire qu’on a le temps, mais s’organiser dès le départ.
Si on n’a pas de contact ou de connaissance, il faut allouer un petit budget pour s’entourer de professionnels et se structurer contractuellement. Un expert qui fait vos comptes, un avocat qui rédige et relit vos contrats etc. Je comprends qu’il y a une vraie problématique financière quand on commence, souvent on s’autofinance, mais il ne faut pas négliger cet aspect de la stratégie, car mal structurées, les idées n’aboutissent pas et sans fondations solides, la maison s’effondre !
Un dernier conseil : suivez votre instinct. Le nom de ma marque ne m’est pas venu tout de suite, je savais que je voulais un terme parlant immédiatement, en anglais, plus impactant et plus universel. Je demandais des avis, je voulais plaire au plus grand nombre. Puis je me suis rappelé une phrase que m’avait dite un jour un pote rappeur célèbre : « La musique je la fais pour moi, il faut que ça me convienne, que ça me plaise ». Et c’est ce que j’ai fait avec mon nouveau projet : j’aime les personnalités qui cassent les codes, à contrecourant, qui me font vibrer et qui littéralement sortent de l’ordinaire. DISRUPTERS était devenue une évidence, ça représente tout ce que je suis et tout ce que je souhaite transmettre !